Le Pavillon Hollandais flottait derrière le grand Mât. Le capitaine regardais l'horizon, toujours aussi plat, aussi monotone. Et c'était tant mieux.
Plus d'une semaine sans tempêtes, sans Anglais, Français ou Galions Espagnole. Si tout ce passait bien, le Capitaine et son équipage arriverait dans les Indes Occidentales sans problèmes majeurs.
Les matelots faisaient leurs travaille tranquillement en chantant en coeur des musiques aussi vieilles que le début de la navigation. Ils Frottaient le sol vigoureusement.
"Toute la voile!" Criait le Capitaine en changeant la trajectoire de sa voile en tournant la bar. Les matelots couraient d'un coup, montaient les gréements, les redescendaient. Ils risquaient leurs vies, ou leurs jambes en haut du grand mât. D'un coup, la toile tomba, le vaisseau prit de la vitesse. Le capitaine sentait le vent dans ses oreilles. Voilà toute sa vie. Une vie de marin. Il la revoyait chaque matin quand il inspectait l'état de son navire. Son magnifique costume bleue était chaque jour lavé en vitesse. Il contemplait son tricorne, orné de deux grandes plumes d'Aigles trouvé aux large de la côte Est du Nouveau Monde. Il allait inspecter chaque matin son butin, qu'il ramènerait fièrement dans un an, chez lui, près de sa famille.
Aujourd'hui, le soleil commençait à tomber dans l'Horizon. Le ciel bleue était maintenant orangé.
Le capitaine Hollandais regardait l'état de ses canons, 30 de chaque côté. Il avait une sacré Bordée pour un Navire Marchand de Classe 4.
Il y avait tout ce soir là. Des marin heureux, chantant de délicieuses musiques, accompagné d'un guitariste et d'un violoniste. Le doux bruit des vagues et le régulier sifflement du vent.
Mais ce soir qui allait pourtant être si chaleureux, si calme, allait se transformer en cauchemar. En une phrase, en quelques courtes secondes, cette si bonne ambiance allait être oublié.
_Ca ... Capitaine! Pavillon Noir sur Bâbord! Oui! C'est bien des Pirates!
Les pirates. Qui sont-ils réellement? Ce sont des diables, des démons des mers. Ils arrivent à tout allure, pillent, tuent, prennent le butin et s'en vont laissant sombrer pour l'éternité les navires marchands au fond des eaux de Neptune.
Non, nous nous trompons, les pirates sont des hommes, ou rares femmes, luttant pour la vie, comme n'importe quel pauvre homme de ce triste siècle. Souvent d'anciens corsaires renvoyés. Ces gentilshommes en quêtes de fortune ne sont là que pour leurs propres survies. Oublions ces légendaires pirates en recherche de trésors enfouis, de vie éternelle. Sur ce navire là, il n'y a que des visages anxieux. Le capitaine, reconnaissable par ses dents en or et son uniforme britannique rouge volé à un pauvre officier Anglais, ne souris pas, il a un visage sans émotions. Il s'apprête à voir le sang, la mort et les cris des marchands si près de leurs but.
Les matelot du "Invisible Dutchman Trader" sont prêt à rencontrer les pires hommes naviguant à travers les sept mers.
_C'est un Trois mât capitaine! Sûrement une Frégate!
Les Marins s'affolent, cours dans tous les sens, vont cherches des armes, d'autres essaient de décrocher la chaloupe. Dans ce vent de Panique, le capitaine crie de sa voie grave et limpide.
_Matelots! Voilà face à nous les pires êtres de ce monde. Ils combattent pour l'or. Mais nous pour notre survie, et notre liberté. Nous ne nous rendrons pas. La rage peut percer la plus puissante des défenses, et créer la plus rapide des attaques. Nous sommes Hollandais. Nous sommes le Pays de la Navigation. Ni Anglais, ni Français, ni Espagnols, et ni les Pirates ne nous enlèveront cette liberté qui nous appartient. Nous pouvons faire le tour du monde, et si nous pouvons faire ça, nous pouvons combattre les pirates. Je ne veux voir ni panique, ni larmes, mais le reflet de vos familles dans vos yeux à tous. Je veux voir la rage de survivre dans vos gestes. Vous avez des sabres et des armes à feux. Vous êtes forts! Et nous ne fuirons pas! Jamais! Nous combattrons ces lâches jusqu'à la mort! Alors si vous avez décidé de Survire, restez avec moi! Est-ce que vous êtes avec moi, Matelots?
Les Marins acquiescèrent en criant tous en coeur.
_Alors maintenant, à vos pièces, et que ces salauds goutent à nos canons!
Les matelots s'exécutèrent. Ils couraient vers les canons tandis que le navire pirate approchait. Eux aussi étaient prêts.
Une fois côte à côte, la fumée des canons se faisait voir. Le bruit, semblable à de gigantesques coups de tonnerres gronda. Le bois explosait. Les marins sautaient à l'eau inanimée.
Les deux navires sont durement touchés. Voilà maintenant le moment cruciale. L'abordage. Tout est redevenu calme. Les deux navires sont maintenant l'un contre l'autre. L'un prend l'eau, l'autre brûle. Les grappins sont prêt du côté des pirates. Le capitaine du Invisible Dutchman Trader a sortit sa lame et son pistolet à Silex. Les matelots l'imitent. Un cri, un seul, et les grappins arrivèrent sur le bord hollandais. Des planches en bois servaient de pont, les autres sautaient grâce aux gréements. La lame à la bouche. La rage dans les yeux. Les larmes des derniers jours. Nous pouvons dès lors entendre les coups de pistolet, le claquement des épées, les cris des valeureux marins. Le duel entre les deux capitaine a commencé. Sur le pont qui brûle, les lames se croisent, se touchent. Les cris de rages se font entendre. Le sang coule, les yeux maintenant livides et sans vie tombent en direction du ciel. La lame argentée tombe sur le sol. Le sang gicle sur le bois déchiqueté. Une larme coule le long de sa joue. Les yeux tournés vers la lune, il voit le ciel étoilée disparaître petit à petit. La dernière lune qu'il vu fut la plus meurtrière, et pourtant la plus belle. Ses yeux se ferment. Sa dernière vision fut sa famille. Une autre larme coule, ce fut la dernière.
Sur le pont rouge sang, les cris se sont arrêtés. Les matelot hollandais voient la dépouille du capitaine tomber. L'autre à son côté se tiens le ventre. Il lâche à son tour son épée. Et tombe brutalement sur le sol enflammé. Même pas un cri de douleur. Et pas une larme. Son uniforme est de la même couleur que son sang.
Le combat est arrêté entre pirate et hollandais. Le feux prend le dessus. Il transperce le bois, fait fondre le fer. Il ne tardera pas à arriver dans les cales de poudres.
Maintenant, toutes les épées tombent en un fracas cinglant. Certains pirates sautent par dessus bord, d'autre tentent de rejoindre leurs vaisseau prenant l'eau.
Le reste est figé. Certains s'agenouillent et prient. Les autres pensent sûrement à leurs famille. Une minute après la mort des deux courageux capitaines, une énorme explosion se fit entendre à des kilomètres. La réserve de poudre avait explosé. Neptune reçoit maintenant les deux équipages dans l'obscur océan. La lune si souvent blanche et brillante, fut cette nuit là d'une couleur rouge et sanglante ...
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L'Aigle de l'UNSC était fier sur la coque de la frégate militaire du Capitaine Simons Johns. Sur le pont principale, il inspectait ses écrans radars. Rien à signaler, et tant mieux. Pas plus tard qu'hier, il avait combattu les sauvages rebelles. Son vaisseau n'avait pas été trop endommagé, mais le morale des soldats était lui bien amoché. Ils avaient vu des centaines de corps glacés puis explosé par la glace lorsque le canon AM du vaisseau avait coupé littéralement la coque du vaisseau ennemi. Les soldats avaient vu par les gigantesques baies vitrées les corps des soldats rebelles flotter, sas vies, puis exploser. Le sang rouge n'avait fait qu'une brève apparition, lui aussi disparaissait dans l'espace d'un noir profond.
Après quelques kilomètres, le vaisseau rebelle avait explosé. Un combat de 2 minutes et 34 secondes.
Même le Capitaine avait baissé les yeux et rejoint sa cabine pendant de longues heures.
Aujourd'hui, il avait prévu de se remonter le morale en appelant par Radio InterSatellite sa famille qui l'attend depuis 6 mois sur Harvest. Mais durant la courte bataille, les missiles ennemi avaient détruit le relai de communication principale, et maintenant, ils ne peuvent plus communiquer ailleurs que dans l'enceinte du vaisseau.
Le capitaine Simon Johns a décidé de prendre un café, à quelques mètres du pont principales. Il croise en route un Soldat.
_Salut Cap'taine. Si vous voulez un café, laissez tomber, il est tombé en rade. Faut aller vers les salles 200/250 l'étage en dessous.
Le capitaine soupire. Il descend alors grâce aux divers ascenseurs Arrivé devant la machine, il appuie sur le bouton "Café Corsé". Un goblet tombe rempli.
Chaud à 50°, le capitaine boit d'une traite son café. Il est tout bonnement dégueulasse. Mais il réveille.
Johns s'apprêtait à aller voir quelques soldats quand une alarme retentit. La seconde du capitaine dit d'une voie faible,
"Soldats et navigateurs, nous venons de détecter trois signaux non identifiés à 6 heures. Nous venons de les voir après avoir envoyé deux vaisseaux éclaireurs. Il y a deux frégates, un une classe Marathon. Ce sont des Rebelles. Ils nous arrivent droit dessus. Messieurs dames, préparez-vous au combat."
Le regard du capitaine se fige d'un coup. "Bordel, c'est un cauchemar" chuchote t-il.
Il court jusque vers les ascenseurs, et est rapidement sur le pont principale.
Simon Johns court jusque vers la table holographique 3D pour voir comment se prépare le terrain.
Il y a quelques géant astéroïdes et du vide. Les vaisseaux arrivent à toute allure près de l'UNSC Glory Of Humanity.
Le capitaine gueule,
_Préparez le Canon AM, nous utiliserons une nouvelle technique. Je veux que vous tiriez en pleine face du vaisseau principale, le Marathon.
Ensuite, vous enverrez 4 vagues de missiles sur les deux autres. Écoutez-moi, nous virerons ensuite par Bâbord, pour contourner cet Astéroïde là bas. Je veux me retrouver derrière les navires et leurs détruire leurs réacteurs. Ensuite, regardez, il faut passer en dessus. Nous dirigerons notre bombe à tête Nucléaire de 10 tonnes sur leur générateur de bouclier, il est près des relais de communication sur ces anciens modèles. Le but est de les éloigner et de les avoir un par un. C'est compris?
_Oui capitaine.
La Stratégie du Capitaine commençait bien, le tire AM avait bien endommagé l'avant du Marathon Rebelle et affolé les deux autres frégates.
L'UNSC Glory Of Humanity commençait à contourner rapidement le gigantesque Astéroïde, quand tout à coup, un portail de SlipSpace apparu.
_Bon Sang, Capitaine! Vous avez vu?
C'était un Fire Fly Class Cruiser. Un gigantesque Navire. Il passa au dessus du Humanity, et envoyant une charge AM.
Celui ci détruisit la bouclier ainsi qu'une grande partie de la coque supérieur.
_Merde!
_Monsieur, nous avons d'énormes problèmes sur la coque supérieur, il y a plusieurs fuites d'oxygènes!
_Envoyez des équipes de secours sur l'aile A et le pont Supérieur! Faites évacuez les équipes miliaires près de l'aile Tribord!
_Compris monsieur. Et que faisons nous pour le navire Rebelle?
_Concentrez tous nos armements Tribord et supérieur sur ses réacteurs. Où En est le charge AM?
_34% Monsieur.
_Bordel! Bon, faites ce que j'ai dit!
Les missile avaient à peine supprimé le bouclier du vaisseau. Le capitaine n'en pouvait plus. Il commençait à organiser les forces militaires pour éviter plus de pertes au niveau humain.
En attendant que le bouclier se recharge, Simon Johns ne pouvait plus utiliser le Slip Space. Il fit un dialogue pour les militaires. Mais le ton n'y était pas.
Une heure après, les soldats du vaisseaux mourraient les uns après les autres. Les Rebelles avaient violemment abordé le navire UNSC, et ils progressaient vers le pont principale.
Le capitaine était sur son siège, en plein délire. Il avait les yeux vides jusqu'au moment où un seul Rebelle entra. Johns vu son reflet par l'écran noir du Radar. Le Rebelle avait un MA5B, un énorme Poignard, un magnum et une armure de métal.
_Le vaisseau qui tu as détruit Hier, c'était celui de mon frère de Sang. Dit il dans une voix grave et roque, signe des dizaines d'années de cigares.
Johns se lève en même temps, un Magnum à la main.
_Si tu veux me buter, fais le maintenant, Rebelle.
_J'ai déjà assez tué de tes larbins de l'UNSC en venant jusqu'ici. Je veux un combat à la loyale, pour une fois.
L'officier jette son MA5B, son Magnum, son poignard et décroche son armure pour se retrouver en combinaison militaire classique face au Capitaine, qui pose son magnum sur le côté.
Le Rebelle court sur le capitaine. Mais celui ci l'évite de justesse. Ils s'échangent des coups de poings, des coups de pieds.
Quelques droites, un crochet sonne le Capitaine Johns. Celui-ci tombe à terre. Le Rebelle prend le Magnum de Simons Johns, et il se met sur lui.
_Voilà que s'achève le dernier combat du pitoyable Capitaine Simons Johns, pauvre Pions de l'UNSC! Quelle Ironie, toi qui croyait être un magnifique capitaine après avoir tué mon frère.
Le Rebelle allait tirer, quand il sort un couteau qui était sous son uniforme et il embroche le ventre du Rebelle qui tombe à terre en criant.
Johns court jusque vers les armes du Rebelle.
L'autre se retourne Et tire trois coups, une balle touche le genou du Capitaine.
Simons tombe dans un gémissement de douleur près des armes du Rebelle. Il prend le MA5B. Il le recharge, l'écran bleu s'illumine, 14 balles dans le chargeur.
Le Capitaine souffle un grand coup, se lève, et se retourne pour être dans l'encadrement de la porte. Il tire 5 balles, le Rebelle lui, n'a pas le temps de finir le chargeur.
Les douilles tombent. Les regards se croisent à nouveaux. Lequel des deux lâchera son arme en premier?
Le sang coule des deux côtés. Mais aucune ne larme coule.
Les yeux bleus pâle du Rebelle seront pourtant les premiers à lâcher. Le Magnum tombe. La main du grand type se dirige vers son ventre. Le sang coule. Il tombe à terre.
Johns avance en boitant, il a été touché une nouvelle fois à l'épaule.
_Je croyais que tu serais Loyale, mais t'es bien un gars de l'UNSC Simons, t'es qu'un Lâche!
_Parce que tu crois vraiment qu'attaquer une navire UNSC à 1 contre 4 c'est loyale?
Le Rebelle regarde une nouvelle fois Johns. Il est à moitié couché contre un mur.
Ses yeux deviennent humides. Par sa main ensanglanté, il touche ses yeux, et il en sort une goutte transparente.
_Alors ... C'est ça, les larmes? Dit-il dans ses derniers souffles de vie.
_Rejoins ton frère, tu seras mieux dans l'autre monde, rebelle...
_Enfoiré d'UNSC! Il finit alors sa vie dans un rire étrange. Cynique ou sincère, Johns ne cherche même pas à comprendre.
Le Rebelle s'endort, pour une éternité mérité.
D'autres Rebelles arrivent. Ils voient leurs chefs mort, et Johns devant, assis sur son siège de capitaine.
Ils n'ont rien dit, et ils ont emmené Johns avec le reste des soldats et officiers prisonniers.
Ils sont arriver à discuter entre eux. Et voilà leur ultime plan. Le Sergent Martins et le Lieutenant-Colonel O'Jopps donnent le verdict finale.
_Capitaine. Voilà ce que nous avons décidé à la majorité. Le Sacrifice. Nous devons amener les plus de Rebelles ici, et faire exploser ce vaisseau.
Vous avez bien une commande d'autodestruction?
_Ouais, sur le pont principale.
Les Rebelles approchent. Ils demandent au capitaine Johns si ce vaisseau transporte des ressources importantes.
_Affirmatif. Nous avons quelques tonnes d'or, d'argent, et de divers ressources...
Les Rebelles se regardent.
_Et où sont-elles?
_Je suis le seul à le savoir, et je veux être accompagné de vos nouveaux chefs, car j'ai pas confiance vous voyez...
Les Rebelles se concertent, puis ils acquissent en appelant les nouveaux dirigeants du commando spatial.
Quelques minutes après, ils sont tous là. Simons amène les chefs sur le pont principale. Et pour activer la commande d'autodestruction, il décide d'utiliser un dialecte militaire inconnu des rebelles.
Il active les commandes. Les chefs Rebelles commencent à s'impatienter. Après quelques commandes, une fenêtre rouge apparaît sur l'écran tactile, avec un code. Johns l'inscrit. Et l'écran s'arrête d'un coup. Le Capitaine cherche ensuite près des écrans tactiles le symbolique bouton rouge mobile. Il le prends discrètement avec lui. Il emmène ensuite les rebelles jusque vers une grande porte blindée. Il inscrit un code digitale, et la porte se déverrouille. La porte s'ouvre lentement, et tandis que les Rebelles attendent que la porte soit totalement ouverte pour découvrir les fabuleuses ressources, le Capitaine Simons Johns s'avance lentement près d'une grande baie vitrée. Il contemple l'espace. Il voit une grande constellation de couleur rougeâtre. Des astéroïdes flottant dans le vide le plus noir, le plus profond. Les yeux noirs de Simons sont vides. Il revoit son fils de 6 mois, qui aujourd'hui devait avoir un an. Il revoit les cheveux blonds de sa femme qui encadrent son visage si doux. Ses fines lèvres, ses yeux d'un bleu azur plein de vie. Puis ce rêve s'arrête quand il entend le dernier claquement de la porte qui était censé cacher les fabuleuses ressources.
Les yeux noirs et humides de Simons se ferment. Deux larmes s'échappent de ses yeux. Elles coulent le long de son nez fin, puis, la course s'achève en bas de ses pommettes si bien dessinés.
Elles tombent sur le sol brillant, et le Capitaine se retourne vers les Rebelles encore sous le choque, devant l'entrepôt totalement vide.
Pendant ce temps, les soldats prisonniers se sont tous assis. Certains prient, d'autres pensent à leurs familles.
Les rebelles se posent des questions, et ils le peuvent.
_Sale Fils de pute! Chopez le, on va le défoncer, attrapez-le!
Les Rebelles s'avancent, et Simons rouvre les yeux. Ils commencent à s'approcher, quand il lève la main, laissant apparaître le déclencheur de la bombe atomique placé sous les réacteurs.
Les autres s'arrêtent. Le chef Rebelle dévisage Simons avec des yeux apeurés. Le Capitaine pense à son dernier combat avec le chef Rebelle, le frangin.
Johns sourit ... "On se reverra en enfer l'ami!" chuchote t-il avant d'appuyer sur le bouton rouge.
Une explosion rasa tous les vaisseaux aux alentours, et le bruit de l'explosion se fut entendre sur des centaines de milliers de kilomètres.
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Quelque soit les générations, l'humain a toujours tué l'humain. Les peuples ce sont toujours entretués.
Le caractère guerrier de l'humain n'a jamais changé, et les crimes sont toujours les mêmes. Rien a changé, si ce n'est le souffle de l'explosion.
Au début du XVIIIe siècle, les explosions tuaient des dizaines d'hommes et femmes.
Dans la premières moitié du XXe siècle, les guerres ont tués des millions d'hommes et femmes en l'espace de 4 à 5 ans, puis, des dizaines, voir des vingtaines de milliers en deux jours avec les bombes nucléaire. Les humains n'ont cessés d'améliorer leurs armes. Ils veulent frapper plus forts, plus vites, au niveau physique et psychologique.
La cupidité, la soif de pouvoir, de territoires et le fanatisme de l'humain n'a pas finit de tuer l'humain ...
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Merci d'avoir lu. J'ai pris un sacré moment à écrire ça.
Voilà, j'ai regroupé mes savoirs et mon plaisir d'écrire pour faire ça. Ce n'est pas un témoignage, j'ai 14 ans quoi, mais j'aime beaucoup ce sujet sur le "fanatisme" de l'Homme lors des guerres, et à travers les siècles, alors j'ai écrit ces fictions pour montrer ce que j'en pensais!
voilà voilà. Alors ce soir, j'ai rapidement relu, et j'espère que les quelques fautes ne vous choquerons pas trop, mais je suis lessivé, et dès demain, promis juré, je corrige tout niquel!
Merci pour ceux qui ont lus,
Jéjé